INDIES, allier créativité, savoir-faire et engagement durable.
Accompagné par Global Climate Initiatives, le groupe a mesuré ses émissions sur l’ensemble de ses sites et défini un plan d’actions réaliste pour intégrer davantage de durabilité dans ses processus, ses matières et ses partenariats.
Nombre de salariés
tCO2e/an
Année analysée
%
Objectif pour 2030.
Nous recommandons GCI pour son accompagnement de qualité et sa disponibilité.
Contexte
Depuis ses origines dans les années 70 en Provence, Indies allie savoir-faire artisanal et création contemporaine. L’entreprise est aujourd’hui engagée dans une transformation durable : elle conçoit ses collections à partir de matières rigoureusement sélectionnées, privilégie des façonniers situés à moins de 1 500 km de son atelier et inscrit la maîtrise de son empreinte carbone au cœur de sa stratégie.
En s’engageant dans une démarche bas-carbone avec Global Climate Initiatives, le groupe franchit une nouvelle étape de son évolution — celle d’une entreprise qui veut créer sans compromettre l’avenir.
Présentation de l’entreprise
Pourquoi avez-vous décidé de vous engager dans une transition bas-carbone ?
Nous souhaitions dans un première temps faire un état des lieux grâce au bilan carbone afin d’établir un point de départ. Il était ensuite intéressant de définir les plan d’actions les plus efficients s’inscrivant dans une démarche de réduction des GES. Il s’agit d’une prise de conscience permettant d’initier des actions pour ensuite s’améliorer.
Quels sont les résultats de votre collaboration avec GCI ?
La collaboration avec GCI a été fluide et positive. Nous avons été guidés dans la collecte d’informations qui est la partie la plus fastidieuse.
Il a fallu réfléchir où trouver les données à partir de nos logiciels métier et comment les exploitées dans l’optique du bilan carbone . L’expertise de Christopher a été précieuse.
Quels sont les résultats essentiels chiffrés de votre bilan GES ?
La répartition des émissions du groupe Indies est typique pour une entreprise de création de prêt-à-porter. Le principal enjeu se situe dans les achats de biens et de services.
Comment cette démarche a-t-elle été présentée et accueillie par vos équipes ? votre direction ? vos fournisseurs ? vos partenaires ?
La démarche est bien accueillie en règle générale même si elle suppose une charge de travail supplémentaire pour les équipes.
Et nous n’avons pas toujours les moyens humains suffisants.La direction est investie dans cette démarche et elle est consciente que la réduction des GES intègre dans un premier temps des contraintes et des changements d’habitude.
Le panel de nos partenaires est très large et tous ne sont pas réceptifs de la même façon.
Un banquier accueillera positivement un bilan carbone alors que nos petits fournisseurs y seront insensibles.
Quels sont vos axes de travail pour 2025-2026 ?
Intégrer davantage de matières recyclées dans les collections, afin de réduire l’empreinte carbone liée aux matières premières.
Sélectionner des façonniers à faible intensité carbone, en tenant compte de leur localisation, de leurs procédés de fabrication et de leurs engagements environnementaux.
Lancer une enquête sur les modes de déplacement des clients, pour mieux comprendre et réduire l’impact carbone associé à leur venue en boutique.
Développer le télétravail et encourager les mobilités douces (vélo, transports en commun…) pour les trajets domicile-travail des collaborateurs.
Collaborer avec des prestataires logistiques engagés dans une trajectoire de décarbonation, et intégrer ce critère dans les appels d’offres.
Formaliser une charte d’achats responsables, intégrant des critères sociaux et environnementaux clairs pour guider les décisions d’approvisionnement.
Favoriser l’acquisition de véhicules électriques ou hybrides rechargeables pour les déplacements professionnels ou la flotte interne.
Mettre en place des actions de sensibilisation à la sobriété énergétique auprès des équipes (éco-gestes, bonnes pratiques au bureau et en déplacement).