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Pour améliorer la performance énergétique des bâtiments existants, la loi va plus loin avec le « décret tertiaire », bien plus contraignant et surveillé. Ce dernier a pour but d’accélérer la réduction de la consommation d’énergie des bâtiments publics et privés. Plusieurs axes de solutions sont exposés dans les réglementations existantes.
Le scope 3 concerne toutes les émissions de gaz à effet de serre indirectes associées à l’activité d’une organisation. Il représente donc bien plus d’émissions de GES que les Scopes 1 et 2, qui ne comptabilisent que les émissions directes et indirectes liées à l’énergie.
GCI propose sur son site un guide gratuit téléchargeable « Comment pérenniser et renforcer son entreprise par une trajectoire Bas-Carbone réussie », ce guide a 3 objectifs : expliquer simplement en quoi consiste un bilan et une stratégie bas carbone, démontrer les opportunités de développement de ses performances, présenter des exemples concrets
La fonction Achats est au cœur du fonctionnement de l’entreprise. La mise en œuvre des achats responsables est un levier efficace pour décliner le développement durable, une politique de responsabilité sociétale (RSE) au sein de son organisation.
Selon François Lamotte, Directeur associé chez Altios France, pour inciter les décideurs économiques à investir davantage dans les énergies propres ou des technologies sobres en carbone et moins dans les technologies émettant des GES, certains États ont décidé de donner une valeur économique à l’émission d’une tonne de CO2.
Le Bilan Carbone® permet de calculer l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre d’une entreprise. Dioxyde de carbone, méthane, protoxyde d’azote… des émissions de plusieurs types de gaz sont passées en revue. L’objectif de cette démarche pour une entreprise est d’avoir une idée précise de son empreinte carbone.
Benoit Desveaux, co-fondateur du Groupe Hopscotch fait un point : La France a pris un engagement avec sa stratégie nationale bas carbone de diminuer les émissions de gaz à effet de serres. Les Accords de Paris entretiennent une baisse du réchauffement de la planète à moins de 2 degrés de plus d’ici 2050. Les entreprises ont un grand rôle à aborder.
Faire son bilan carbone rend compte de l’empreinte carbone d’une organisation. Il permet une quantification de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre (GES) directement ou indirectement générées par une organisation.
Le bilan GES est l’identification et la quantification précise, complète et conforme à la règlementation des émissions de gaz à effets de serre d’une entreprise ou d’une organisation, à vocation d’en trouver des pistes de réduction.
Pour être efficace, le bilan carbone doit prendre en considération le secteur d’activité de l’entreprise.
Selon Philippe Mangeard, le bilan carbone peut être le point de départ d’une nouvelle organisation de l’entreprise décidée collectivement et baptisée d’un joli mot : stratégie bas carbone. Ce qu’il faut comprendre aussi c’est qu’on ne peut pas réduire son empreinte carbone tout seul à l’intérieur de l’entreprise, il faut impliquer son écosystème.
Toute entreprise qui s’intéresse à la réalisation d’un Bilan de ses émissions de Gaz à Effet de Serre aura l’occasion d’entendre deux termes : Bilan Carbone et Bilan GES. Bien qu’ayant une démarche similaire, c’est-à-dire la comptabilisation des gaz à effet de serre émis par une entité ou organisation pour ses activités, il y a des particularités qui les différencient, comme par exemple la définition du périmètre de comptabilisation des émissions.
Global Climate Initiatives est née en 2012 pour permettre à chacun, entreprise ou collectivité, de réaliser simplement, en toute autonomie, son Bilan carbone, et de détecter ainsi les pistes de réduction de ses émissions.
L’Économie Circulaire fait partie de ces bonnes solutions, et apporte de plus nombre de bénéfices sociétaux très appréciables.
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